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Le Ring de nos lectures

Le Ring de nos lectures
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12 septembre 2010

Que lira t-on en octobre 2010 ?

Ici, c'est la place pour vos idées, vos coups de coeur, ce dont vous avez entendu parler (si possible, en bien ...)

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12 septembre 2010

Septembre 2010

1) Les noces barbares de Yann Quéffelec
Fruit d'une alliance barbare et d'un grand amour déçu, Ludovic, enfant haï par sa trop jeune mère - Nicole et ses grands-parents, vit ses premières années caché dans un grenier. La situation ne s'arrange guère après le mariage de Nicole avec Micho, brave et riche mécanicien qui cherche à protéger Ludovic. Hantée par ses amours brisées, sombrant dans l'alcoolisme et méprisant son mari, la jeune femme fait enfermer son fils dans une institution pour débiles légers. Mais Ludovic n'est pas l'arriéré qu'on veut faire de lui. Il ne cesse de rêver à sa mère qu'il adore et qu'il redoute. Même une première expérience amoureuse ne parvient pas à l'en détourner. Son seul but, son unique lumière : la retrouver. S'enfuyant un soir de Noël, il trouve refuge sur la côte bordelaise, à bord d'une épave échouée, écrit chez lui des lettres enflammées qui restent sans réponse. Et c'est là-bas, sur le bateau dont il a fait sa maison, que va se produire entre Nicole et son fils une scène poignante de re-connaissance mutuelle - qui est aussi le dernier épisode de leurs noces barbares.



2) Quitter le monde de Douglas Kennedy
Celle qui veut quitter le monde, c'est Jane Howard, professeur de littérature, et elle a d'excellentes raisons pour ce faire. Sans entrer dans les détails pour ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte, sachez que l'existence ne la gâte pas et que le trésor qui lui est enfin donné lui est repris de la façon la plus brutale qui soit.

Le point fort du roman est selon moi l'approche psychologique des personnages et surtout de Jane. Kennedy est tellement juste dans ses réflexions que l'on a du mal à croire que cette compréhension de la femme émane d'un auteur masculin -observation qui vaut pour d'autres de ses romans. Son approche de certaines situations, que ce soit l'adultère, les relations parents-enfants ou encore le désespoir le plus absolu de l'être humain face au néant, est tout simplement magistrale. Une autre qualité de ce roman est selon moi l'arrière-plan culturel, avec des références cinématographiques et littéraires intéressantes qui auraient mérité peut-être d'aller un peu plus loin encore.

3) Les petites soeurs de Valérie Saubade
" Sarah Debussy avait, ce jour-là, une foule de choses à faire avant de mettre fin à ses jours. Elle tenait à se suicider comme elle avait vécu. Avec efficacité. " Qui a poussé Sarah Debussy à finir consciencieusement sa boîte de somnifères ? Pour sa famille, peu importe : il est avant tout extrêmement indécent de mettre fin à ses jours quand on appartient à la bourgeoisie. D'autant que la petite effrontée, pourtant morte et enterrée, semble envoyer post-mortem des lettres sibyllines signées de sa main. Alors qu'on accuse la défunte de ne pas vouloir faire comme tout le monde, Agathe, sa nièce, décide de suivre ce jeu de pistes et les méandres du passé de cette famille pas comme les autres...

26 avril 2009

A vos propositions pour mai 2009 !

Propositions déjà enregistrées :

  • "les rois maudits" de Maurice Druon (le volume 1 pour commencer)

Au début du XIVe siècle s'ouvre, contre les Templiers, le plus vaste procès dont l'Histoire ait gardé le souvenir. Jacques de Molay, le grand maître de l'Ordre, meurt sur le bûcher en lançant sa terrible malédiction contre le roi de France, le pape et les grands du royaume : Maudits, tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races ! Dès lors, le malheur s'abat sur la France. Les quatre
derniers Capétiens directs meurent en moins de quinze années : adultères, meurtres, procès, trahisons ébranlent la dynastie, et mènent à la guerre de Cent Ans. Cette extraordinaire saga a conquis des générations de lecteurs à travers le monde et donné naissance à de formidables créations audiovisuelles.

  • "Contre-enquête sur la mort d'Emma Bovary" de Philippe Doumenc

Elle s'appelle Emma Bovary et son histoire est célèbre. Amoureuse de l'amour, elle a vécu d'illusions, trompé son mari et ruiné son ménage. Dans un geste de désespoir, elle se tue en absorbant une forte dose d'arsenic - c'est du moins ce que prétend Flaubert. Or c'est un fait reconnu que l'arsenic, en une seule prise, n'est presque jamais mortel... Voici ce qui s'est réellement passé : au chevet de la jeune femme, deux médecins ont été appelés. L'un relève des traces discrètes de contusions; l'autre pourra témoigner des derniers mots chuchotés par Emma: "Assassinée, pas suicidée." Deux policiers de Rouen sont dépêchés à Yonville afin d'élucider l'affaire. Et voilà bientôt plusieurs suspects: un mari cocu, un prêteur sur gages, deux femmes de caractère, un cynique libertin, un pharmacien concupiscent... Dans le décor médiocre et petit-bourgeois où Emma suffoquait d'ennui, Philippe Doumenc orchestre une contre-enquête brillante et talentueuse qui nous révèle enfin ce que Flaubert lui-même feignait d'ignorer.

  • "4 générations sous le même toit" de Lao She (tome 1)

Si vous souhaitez découvrir la chine et ses habitants, ses coutumes, son mode de vie, à l'époque des années 40, alors lisez vite Lao She : "les gens de Pékin", "le pousse-pousse", "la cage entrebaillée" et bien sur "Quatre générations sous un même toit".Ses romans nous dévoilent avec un mélange de bonheur et de tristesse toute la profondeur de la Chine, ses richesses et ses malheurs. Lao She met en scène des personnages tout à fait singuliers et attachants. C'est un vrai bonheur que de le lire

  • "les disparus" de daniel mendolsohn

Dans la famille de Daniel Mendelsohn, il y a un trou : en 1941, son grand-oncle, sa femme et leurs quatre filles ont disparu dans l’est de la Pologne. Comment sont-ils morts ? Nul ne le sait. Pour résoudre cette énigme, l’auteur part sur leurs traces. Le résultat ? Non un énième récit sur la Shoah, mais un formidable document littéraire, à la fois enquête dans l’Histoire et roman policier.

  • dissolution de J-C Samson

En 1557, l'Angleterre est déchirée par une violente période de transition religieuse :les réformistes s'apprêtent à dissoudre tous les anciens monastères catholiques, coupables, selon eux, d'idolâtrie obscurantiste. C'est dans cette atmosphère chaotique qu'un matin, à Londres, Matthew Shardlake, brillant avocat disciple d'Erasme, est reçu au cabinet de l'autoritaire Lord Cromwell, chef des réformistes. Ce dernier le somme de se rendre au monastère de Scarnsea, théâtre de rumeurs sordides, dans lequel Shardlake va découvrir le cadavre décapité de son confrère, Robin Singleton... Un assassinat inexplicable, des traces de rituel païen, une congrégation frappée de mutisme : l'avocat devra résoudre, une à une, toutes les facettes de cette profonde et macabre énigme.
 

  • la vague de todd strasser

Cette histoire est basée sur une expérience réelle qui a eu lieu aux Etats-Unis dans les années 1970. Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d'histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort : " La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l'Action. " En l'espace de quelques jours, l'atmosphère du paisible lycée californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader, lui-même totalement pris par son personnage. Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences et mettre fin à la démonstration? 


  • Moka de Tatiana de Rosnay

Justine mène une petite vie tranquille entre son mari, ses deux enfants et son boulot de traductrice free-lance. Mais un mercredi après-midi, tout bascule. Un chauffard renverse son fils en plein Paris, et prend la fuite, à bord d'une berline couleur moka. Malcolm sombre dans le coma, l'enquête piétine... Seule contre tous - ou presque, Justine veut découvrir la vérité. Jusqu'au bout. Et à n'importe quel prix. " Franglaise " comme son héroïne, Tatiana de Rosnay, auteur du best-seller international Elle s'appelait Sarah, entraîne le lecteur dans un étourdissant suspense psychologique. 

 

  • L'infortunée de Wesley Stace 

Londres en 1820, lord Geoffroy Loveall recueille un nourrisson. En l'adoptant sa mère et lui espèrent déjouer les plans de leur cousins qui souhaitent hériter du domaine familial. Lady Loveall s'aperçoit avant de mourir que l'enfant est un garçon mais sir Geoffroy persiste dans son erreur et le fait élever comme Rose la future lady Loveall. A l'adolescence le scandale éclate et Rose s'exile 

un avis : J'aurais aimé qu'il existe une étoile de plus à votre barème pour pouvoir la mettre à ce roman. C'est en effet le meilleur dans mes dernières lectures.: un roman dans la grande tradition du romanesque classique. Tout y est: secrets, mystère, jalousie,fugue, amour, trahison...Mais on y croise aussi des réflexions sur des sujets intemporels: la métamorphose (un des grands thèmes du roman), la famille, la femme (autre grand thème du roman), l'écriture et ses pouvoirs, les relations sociales...tout cela dans un texte passionnant qu'on a bien du mal à refermer! Et quand on arrive à la dernière page, on rève de recommencer à la première.
 

  • Je ne sais pas comment elle fait d'Alison Pearsons 

Les mères de famille ont enfin leur Bridget Jones. Elle s'appelle Kate Reddy, elle a 35 ans, un mari, deux enfants et un job dans une grande banque londonienne. Elle livre un combat quotidien pour mener de front ses vies familiale et professionnelle. Ce portrait au vitriol d'une mère moderne fait mouche et devrait devenir le livre culte des executive women.   
Après avoir fait un carton en Grande-Bretagne, le livre sort dans toute l'Europe.   
Toutes les femmes qui travaillent doivent lire ce livre hilarant et pathétique qui sera prochainement adapté au cinéma.   
 

  • le rapport de Brodeck

Le métier de Brodeck n'est pas de raconter des histoires. Son activité consiste à établir de brèves notices sur l'état de la flore, des arbres, des saisons et du gibier, de la neige et des pluies, un travail sans importance pour son administration. Brodeck ne sait même pas si ses rapports parviennent à destination. Depuis la guerre, les courriers fonctionnent mal, il faudra beaucoup de temps pour que la situation s'améliore. «On ne te demande pas un roman, c'est Rudi Gott, le maréchal-ferrant du village qui a parlé, tu diras les choses, c'est tout, comme pour un de tes rapports.»
Brodeck accepte. Au moins d'essayer. Comme dans ses rapports, donc, puisqu'il ne sait pas s'exprimer autrement. Mais pour cela, prévient-il, il faut que tout le monde soit d'accord, tout le village, tous les hameaux alentour. Brodeck est consciencieux à l'extrême, il ne veut rien cacher de ce qu'il a vu, il veut retrouver la vérité qu'il ne connait pas encore. Même si elle n'est pas bonne à entendre.
"À quoi cela te servirait-il Brodeck ? s'insurge le maire du village. N'as-tu pas eu ton lot de morts à la guerre ?
Qu'est-ce qui ressemble plus à un mort qu'un autre mort, tu peux me le dire ? Tu dois consigner les événements, ne rien oublier, mais tu ne dois pas non plus ajouter de détails inutiles. Souviens-toi que tu seras lu par des gens qui occupent des postes très importants à la capitale. Oui, tu seras lu même si je sens que tu en doutes..."
Brodeck a écouté la mise en garde du maire.
Ne pas s'éloigner du chemin, ne pas chercher ce qui n'existe pas ou ce qui n'existe plus. Pourtant, Brodeck fera exactement le contraire

3 avril 2009

La sélection d'avril 2009

Voilà la nouvelle sélection du printemps :

avril09_021

Elle est à rallonges, pour donner envie de s'inscrire au moins pour un livre :

1/ Emma de Jane Austen

Frecile74, Flo, Babé, Lianne, Plum, Dgé, lho

2/ Le bizarre incident du chien pendant la nuit

Frecile74, Flo, NicoleJ, Estele, Lianne, Babé; lho

3/ De sang froid de Truman Capote

Frecile74, Flo, Babé, lho

4/ L'île de Robert Merle

Frecile74, Estele, Lianne, Dgé

5/ Mon chien stupide de John Fante

Frecile, Estele, les parents d'estele, Plum

28 mars 2009

Quelques informations sur nous :

lecture

Babé, Dordogne

carolemma, Carole,Normandie

dgé , Géraldine, Marseille.

Estèle, Estelle, Bordeaux.

flo, Florence, Lyon

Frecile 74 : Cécile, Annecy

lho, Angers

Lianne : soeur de fFlo, Auvergne

Litchi : Emilie, Lyon

NicoleJ, maman de frécile, Dijon

Pagederoi : maman d'estele, région parisienne

Papa d'estele, région parisienne

Plum : région parisienne

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28 mars 2009

En attente de commentaires

Lus, mais en attente de commentaires :

magnus

nostalgie_ange

mal_de_pierres

l__trang_remaladie_sachsattention_fragilesles_disparusao

hunger

28 mars 2009

10 propositions pour avril 2009 ...

Il reste 10 propositions pour avril : 

1/ Bubbles se lâche de Sarah Strohmeyer
Blonde, jolie, excentrique et coiffeuse de son état, Bubbles Yablonski est aussi journaliste à ses heures perdues. Et elle attend désespérément le scoop qui la couvrira de gloire. L'occasion se présente bientôt : le prétendu suicide d'une jeune fille, survenu dix ans plus tôt. Malgré les menaces qu'elle reçoit et la police qui la discrédite, elle décide de jouer les trouble-fête et de mener sa propre enquête. De rencontres déstabilisantes en situations parfois dangereuses et rock'n'roll, Bubbles compte bien prouver qu'avec elle, ça décoiffe ! 

2/ Mon chien stupide de John Fante « Si vous avez des idées noires, plongez-vous dans Mon chien Stupide. Vous en sortirez revigoré. Le nouvel avatar de Fante, alias Bandini, est un quinquagénaire, vivant sur le bord du Pacifique avec sa femme et ses quatre enfants qui le font tourner en bourrique. Il recueille un énorme quadrupède, Stupide, un chien étrange qui complète la maisonnée. C'est à la fois drôle, ironique, tragique, bouleversant et merveilleusement écrit. A lire de toute urgence. »

3/ L'infortunée de Wesley Stace 
Londres en 1820, lord Geoffroy Loveall recueille un nourrisson. En l'adoptant sa mère et lui espèrent déjouer les plans de leur cousins qui souhaitent hériter du domaine familial. Lady Loveall s'aperçoit avant de mourir que l'enfant est un garçon mais sir Geoffroy persiste dans son erreur et le fait élever comme Rose la future lady Loveall. A l'adolescence le scandale éclate et Rose s'exile

un avis : J'aurais aimé qu'il existe une étoile de plus à votre barème pour pouvoir la mettre à ce roman. C'est en effet le meilleur dans mes dernières lectures.: un roman dans la grande tradition du romanesque classique. Tout y est: secrets, mystère, jalousie,fugue, amour, trahison...Mais on y croise aussi des réflexions sur des sujets intemporels: la métamorphose (un des grands thèmes du roman), la famille, la femme (autre grand thème du roman), l'écriture et ses pouvoirs, les relations sociales...tout cela dans un texte passionnant qu'on a bien du mal à refermer! Et quand on arrive à la dernière page, on rève de recommencer à la première.

4/"je ne sais pas comment elle fait" d'Alison Pearsons
Les mères de famille ont enfin leur Bridget Jones. Elle s'appelle Kate Reddy, elle a 35 ans, un mari, deux enfants et un job dans une grande banque londonienne. Elle livre un combat quotidien pour mener de front ses vies familiale et professionnelle. Ce portrait au vitriol d'une mère moderne fait mouche et devrait devenir le livre culte des executive women.   
Après avoir fait un carton en Grande-Bretagne, le livre sort dans toute l'Europe. 
Toutes les femmes qui travaillent doivent lire ce livre hilarant et pathétique qui sera prochainement adapté au cinéma. 
 
5/ Les tribulations de tiffany trott d'Isabelle Wolff
Si la vie professionnelle de Tiffanny Trott est une indéniable réussite, sa vie sentimentale, en revanche, est un véritable fiasco : à trente-sept ans, elle est toujours célibataire et court invariablement d'échec en échec. Mais, comme elle rêve de mariage et d'enfants, elle décide de ne s'épargner aucune peine pour trouver son homme idéal : petites annonces, agences de rencontres, soirées pour célibataires, vacances sont autant de sources d'espoir... et de désillusion. Ses ex, Dédé Bauché et Alex ? Des incapables. Piers, Paul, Eric, et tous les autres ? Des catastrophes. Certes, il y a bien Super-Battant, classé dans la catégorie des "pas-mal-limite-acceptables"... Et si, comme le pense son amie Lizzie, la raison de tous ces échecs sentimentaux était tout simplement la peur de s'engager et de renoncer à la liberté ? Ce roman vif et pétillant, plein d'humour et d'émotion, nous transporte dans la jungle contemporaine des relations sentimentales ; nul doute que plus d'une lectrice s'identifiera à l'héroïne 
 
6/ Le bizarre incident du chien pendant la nuit par Mark Haddon
Il a 15 ans et s'appelle Christopher Boone. Il excelle en mathématiques et adore Sherlock Holmes. Il aime les diagrammes, les listes, la vérité. Il ne supporte pas qu'on le touche. Pour lui, 4 voitures rouges à la file sont synonymes de Bonne Journée; 3 voitures rouges : d'une Assez Bonne Journée ; 5 voitures rouges : d'une Super Bonne Journée. Il est autiste et porte en lui une part de génie. Quand un jour, Christophe apprend que Wellington, le caniche de sa voisine, a été assassiné, il décide de mener l'enquête qui va lui permettre d'arracher au passé l'énigme de sa propre histoire. Et de nous la raconter... Un roman authentique, captivant et attachant, récompensé 18 fois dans le monde entier. Il a reçu notamment le Booker Prize 2003 et le Whitbread 2004. 

un avis : Un livre étonnant. Une enquête policière peu courante. Et la vision décalée d'un petit garçon autiste. L'auteur a su créer un univers très touchant que l'on découvre au grès d'une intrigue captivante bien que dépourvue d'enjeux. C'est vraiment un livre étonnant. 

7/ l'île de robert merle
Très proche du Bounty, cette histoire ressemble à une suite, une fois que l'équipage rebelle a détruit son bateau pour s'installer sur l'ile. Et c'est une vraie petite vie civilisée (du moins au départ) qui se crée sur une ile paradisiaque... Ce livre est très agrable à lire et assez captivant par son ambiance "paradis perdu

8/ de sang froid de truman capote
La véracité des meurtres dont il est ici question a probablement contribué au succès de ce roman, qui tient en outre à la diversité des talents de Truman Capote. Il signe ici un roman de moeurs, une étude psychologique et un récit policier tout à la fois. Observateur consciencieux et documenté, il amorce son texte par une description minutieuse du paysage désolé qui servira de cadre à l'intrigue. L'atmosphère bien trop calme du début est un prodige de suspense, en dépit d'une écriture factuelle et descriptive. L'horreur plane dans le ciel de ce Kansas en apparence immuable, et l'on sent bien que les deux récits conduits en parallèle sont les deux versants d'un même drame. Pourtant, le doute subsiste tant que les deux histoires ne se sont pas effectivement rejointes. Or, une fois les coupables arrêtés, l'évolution du procès et des démêlés juridiques de l'affaire est retracée fidèlement. De sang-froid se transforme alors en réflexion sur les mentalités religieuses, la peine de mort et les causes de la marginalité. Des années après le drame, le jugement est enfin rendu et exécuté. Cependant, au terme de cette enquête épuisante, l'apaisement s'accompagne de la sensation d'une inutilité

9emma de jane austen
Jeune femme dotée d'un esprit vif et d'une haute opinion d'elle-même, Emma ne tarde pas à devenir l'un des pivots de la vie sociale d'Highbury, petite ville de province anglaise. Volontiers manipulatrice et excellant au jeu des rencontres arrangées, elle se plonge dans l'univers émotionnel de ses contemporains, en tire les ficelles et trouve là son principal centre d'intérêt. Certes, l'aristocratie victorienne du début du XIXe siècle n'offre guère de distractions aux jeunes filles, aussi Emma se réfugie-t-elle dans ses expériences intérieures, laisse jouer son imagination et perd peu à peu la notion du réel. Cette héroïne, que Jane Austen a conçue antipathique à dessein, finira par être rattrapée par son égoïsme et ne devra son salut qu'à un amour dont elle avait sous-estimé l'importance, hautaine une fois de trop. Tout à la fois cruel et gentiment naïf, ce roman utilise le prétexte du pouvoir salvateur des sentiments amoureux pour se livrer à une étude de moeurs précise et sans complaisance.

10/ l'attentat de yasmina khadra
C'est un roman à vous couper le souffle, aux mots simples et forts et qui dresse le portrait d'un pays rongé par la terreur et le basculement vers le terrorisme. Ce livre très réussit m'a marquée au fer rouge et restera coincer dans un coin de ma tête. A lire sans hésiter
Dans un restaurant de Tel Aviv, une jeune femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. À l'hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d'origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l'attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d'urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds: il s'agit de sa propre femme. Comment admettre l'impossible, comprendre l'inimaginable, découvrir qu'on a partagé, des années durant, la vie et l'intimité d'une personne dont on ignorait l'essentiel? Pour savoir, il faut entrer dans la haine, le sang et le combat désespéré du peuple palestinien

Pour le mois prochain (mai), il y a déjà deux idées, les disparus et contre enquête sur la mort d'Emma Bovary ...

21 mars 2009

Les livres du mois de mars 2009

Ils ont été sélectionnés ce mois  (à lire pour le 31 mars 2009) :

- L'art de la joie de Goliarda Sapienza 

- Le choix de Sophie de William Styron

- Personne n'y échappera de Romain Sardou

21 mars 2009

Des résumés... pour finir

Udall, Bradley, Le fabuleux destin d'Edgar Mint
- les commentaires détaillés pages 291 et suivantes
- note moyenne : 13/20 (4 lectrices)
- Les avis sont partagés. Certes, le livre n'est pas très gai, car le personnage d'Edgar vogue de mésaventure en mésaventure, battu, maltraité, placé en orphelinat... C'est un portrait sans faille de l'Amérique profonde et de la misère hulaine. Mais la fin apporte un autre regard sur l'existence d'Edgar et ce petit garçon, héros de l'histoire, est extrêmement attachant !

Van Cauwalaert Didier , L'éducation d'une fée
- note moyenne : 12/20 (3 lectrices)
- Ce roman gentil, mignon, se laisse lire assez facilement, mais certains lectrices lui reprochent un côté "guimauve", mièvre. Le thème est celui de la passion dans le couple et des façons de l'entretenir ou de la ranimer (ça fait penser à A. Jardin). Mais tout le monde n'adhère pas à cette idée de la femme qui abandonne sa famille pour ne pas les faire souffrir et avouer sa maladie. 

Vargas Fred, L'homme à l'envers
- note moyenne : 11/20 (8 lectrices)
- Si quelques lectrices rendent hommage à l'intrigue, bien menée, et au caractère pittoresque des personnages, la plupart regrette les longueurs dans le récit. Le début est dense, mais par la suite, l'intrigue s'essouffle et devient fade. Apparemment, les autres ouvrages du même auteur souffrent moins de ce rythme lent. Deux lectrices nous trouvent bien difficiles et ont apprécié la truculence des personnages au point d'avoir envie de lire plein d'autres "fred Vargas".

Walker Alice, La couleur pourpre
- note moyenne : 12,5/20 (2 lectrices)
- C'est l'histoire touchante de deux soeurs noires Celie et Nettie, et de leur famille qui a la particularité d'être de couleur noire au cours de la premiere moitie du XXeme siècle ...Les épreuves jalonnent leur parcours : mépris, viol, violence conjugale. Les deux soeurs sont séparées et s'écrivent de longues lettres jusqu'au jour (poignant) de leurs retrouvailles. Nous avions en mémoire le film avec Whoopi Goldberg. L'histoire est touchante, mais le style "parlé, peu instruit" de la narratrice a déconcerté. Le livre présente une galerie de personnages auxquels on s'attache plus ou moins.

Zweig Stefan, Le joueur d'échecs
- 2 lectrices seulement mais elles ont adoré le livre !

Zweig Stefan, Marie-Antoinette
- note moyenne : 14,5/20 (4 lectrices)
- Là encore, les avis divergent. Certaines sont subjuguées par le style et l'écriture de cet auteur classique, d'autres regrettent quelques longueurs et l'abus d'accumulations..."Marie-Antoinette" est traitée comme une véritable héroïne, et Zweig use et abuse de dialogues, toutes choses qui ne satisfont pas pleinement les historiennes de notre groupe. 

L'herbe bleue", journal intime d'une jeune droguée
- note moyenne : 12,5 / 20 (6 lectrices)
- l'écriture est fluide et l'engrenage qui conduit à plonger dans l'enfer de la drogue est très bien rendu. Certaines descriptions des fugues des relations mère/ fille sont très réalistes. Cependant, plusieurs lectrices ont avoué leur déception lorsqu'elles ont appris que ce témoignage était inventé de toutes pièces par un ensemble de psychologues et non le journal réel de la vie d'une jeune adolescente.

"10 nouvelles fantastiques de l'Antiquité à nos jours"
- une seule note : 5/20
- C'est davantage un recueil sur l'évolution de la notion de fantastique à travers les siècles. Sans chute le plus souvent, les nouvelles sont fades et insipides.

21 mars 2009

Toujours des résumés...

Paasalina Arto, Prisonniers du paradis
- note moyenne : ( 13/20 de moyenne) 9 lectrices
- "Frais, divertissant, amusant" sont les adjectifs qui reviennent le plus souvent pour décrire cette histoire qui reprend un peu la trame de Lost (un groupe de naufragés doit réapprendre à vivre sur une île déserte). L'histoire remet en cause certains progrès et les dérives de notre société de consommation.
L'écriture est fluide et les relations entre les personnages sont bien décrites. Cependant, l'ouvrage est inégal, l'auteur n'a pas toujours développé les idées les plus intéressantes et la fin a déçu, voire rendu triste une lectrice  :whistle: 

Pancol Katherine, Les yeux jaunes des crocodiles
- note moyenne : 14,5/20 de moyenne (7 lectrices)
- Le livre se lit vite et bien, les personnages sont attachants, certaines ont dévoré le livre, quelques filles font la fine bouche et regrettent l'intrigue un peu tordue ou les ficelles un peu grosses. C'est une sorte de Bridget Jones version France avec cependant des personnages secondaires plus nombreux et plus détaillés. La fin laisse un goût d'inachevé, pas étonnant puisque la suite vient de sortir !

Parrado Nando, Miracle dans les Andes :
- note moyenne : 17,5/20 (3 lectrices)
- C'est une histoire vraie : elle raconte un crash dans la Cordillère des Andes et les conditions de survie des rescapés. Les lectrices ont été bouleversées par cette histoire exceptionnelle et universelle de l'instinct de survie qui anime l'Homme. C'est un petit bijou bourré d'humanité, de solidarité entre les "survivants" qui ne pourra laisser personne indifférent.

Pennac Daniel, Au bonheur des ogres
- note moyenne : 13/20 de moyenne (5 lectrices) 
- Une fois encore, les avis sont partagés. L'auteur a une imagination foisonnante et ses personnages sont très attachants. Ni drôle, ni profond pour certaines qui vont même jusqu'à parler d'ennui à la lecture de l'ouvrage, d'autres ont cependant apprécie l'écriture fluide et originale, ainsi que les trouvailles abracadabrantes de Pennac.

Pergaud Louis, La guerre des boutons
- note moyenne : presque 15/20 de moyenne(4 lectrices)
- Le livre a peu vieilli, c'est un retour truculent, drôle, vers notre enfance, la façon dont nous pouvions percevoir le monde des adultes. Les valeurs de camaraderie, de solidarité, les guéguerres enfantines, les clans, l'ennui en classe, tout cela est magnifiquement rendu par Pergaud !

Poinger Emmanuelle, 11 nouvelles à lire seule les soirs de match de foot
- note moyenne :  15/20 (3 lectrices)
- Premier livre "érotique" pour beaucoup d'entre nous... Sympathique même si pas toujours crédible, il se lit bien et les nouvelles sont variées.

Quelen Franck, Le dîner de sanglots 
- moyenne 14 /20 (8 lectrices et d'autres à suivre)
- ce roman noir, étouffant, oppressant, gothique a passionné les membres du ring qui l'ont dévoré. L'atmosphère glaciale est excellement bien rendue, et si certaines regrettent un style parfois un peu pédant et des longueurs, la majorité a été subjuguée par l'imagination de cet auteur qui nous tient en haleine du début à la fin...Si vous aimez les romans noirs, foncez !Cependant, si vous vous attendez à retrouver du Umberto Eco, passez votre chemin  :whistle: 

Romains Jules, Knock
- note moyenne : 13/20 (6 lectrices)
- Pièce de théâtre jubilatoire et divertissante pour les unes, ficelles énormes et style "théâtre à papa" qui a mal vieilli pour les autres... les avis sont partagés. Une lectrice a même tout oublié de la pièce 15 jours après sa lecture  :sleep:  :whistle: 

Ruiz Zafon Carlos, L'ombre du vent
- moyenne : 13/20 (4 lectrices)
- C'est un livre avec une vraie atmosphère ... Les personnages sont attachants mais il y a des insuffisances et des longueurs dans l'intrigue. Il y a un joli final.

Safier, David, Maudit Karma
- moyenne : 11/20 (4 lectrices)
- commentaires p. 299 et suivantes
- Divertissant pour les unes, roman accumulant les poncifs pour les autres. C'est une lecture légère : une journaliste de télévision meurt brutalement et voit dans une série de réincarnations l'occasion de "racheter" sa mauvaise conduite sur terre. C'est l'occasion de rencontres cocasses, burlesques qui feront sourire... ou pas ! Amis des situations réalistes s'abstenir !

Sapienza Goliarda, L'art de la joie
- moyenne : 14,5/20 (2 lectrices)
- commentaires détaillés p. 258 et suivantes
- L'auteur a écrit une vraie saga autour d'un personnage central fort : une femme sicilienne, qui bouleverse les codes et les conventions tout au long de sa vie, et dont le seul moteur est la liberté. Long à lire, mais difficile à lâcher, le livre est foisonnant et fait parfois un peu peser sur les lecteurs leur manque de connaissances historiques...

Sardou Romain, Personne n'y échappera
- Moyenne : 13,5/20 (4 lectrices)
- commentaires détaillés : page 258 et suivantes
- Le livre commence fort, avec une intrigue bien menée, une ambiance glauque à souhait formidablement bien posée. Plusieurs lectrices trouvent cependant que la 3ème partie du roman s'enlise, et qu'une fois le coupable connu, l'histoire perd de sa saveur. La fin paraît presque bâclée ... Une seule lectrice a cependant préféré la fin, plus dans l'action, le gore, le spectaculaire avec notamment la scène du labyrinthe sanguinolent  :whistle:

Schaffer, M-A., Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates
- les commentaires détaillés p. 276 et suivantes
- note moyenne : 15/20 (2 lectrices)
- Ce roman, outre son prix mérité de titre à rallonge de l'année :whistle: est une agréable et rafraîchissante lecture qui donne le moral ! L'histoire est originale : l'héroïne décide de partir à la rencontre de personnes inconnues à la suite d'une lettre intrigante adressée par l'une d'elles. S'ensuit nombre d'aventures trépidantes, sur fond d'après guerre dans une contrée bien particulière : l'île de Guernesey. Les personnages sont très attachants et même si on n'échappe pas à un happy end très "cliché", cela n'a pas suffi à nous faire bouder notre plaisir.

Schmitt, Eric-Emmanuel, Petits crimes conjugaux (théâtre)
- les commentaires détaillés p. 281 et suivantes
- note moyenne : 15/20 (3 lectrices)
- Certaines ont découvert E.E Schmitt avec bonheur par le biais de ses romans (hors sélection). Le Schmitt du théâtre ne les a pas déçues. Cette pièce relate l'histoire d'un couple dont l'homme est brutalement devenu amnésique à la suite d'un choc. Quelle est l'origine de ce choc ? Va -til recouvrer la mémoire ? De quoi va t-il se souvenir ? Les rebondissements s'enchainent, les répliques fusent, c'est incisif, jubilatoire et on est amené à se poser des questions sur le couple, sur son couple...

Schmitt, Eric-Emmanuel, Oscar et la dame rose
- note moyenne : 15/20 ( 3 lectrices)
- commentaires détaillés p. 299 et suivantes
- Evidemment, le sujet a de quoi faire peur : c'est l'histoire d'un petit garçon atteint d'un cancer et de sa vie à l'hôpital. Mais l'auteur, en choisissant de se placer dans la tête et les pensées de ce petit garçon, donne un caractère léger, enlevé, presque joyeux au livre. Ce que veut Oscar, c'est être aimé de sa petite voisine de chambre, c'est qu'on lui parle sans trémolos dans la voix, c'est ressentir des émotions fortes, c'est être traité comme un autre garçon de son âge. Mamie Rose réussit cette prouesse hors de portée des parents d'Oscar. Au final : une jolie fable, poétique et tendre sur la vie et la mort.

Sharpe Tom, Wilt 1 ou comment Comment se sortir d'une poupée gonflable et de beaucoup d'autres ennuis encore
- note moyenne : 7,5/20 de moyenne (sachant que je n'ai pas retrouvé les notes des 2 filles qui ont aimé) pour 3 lectrices
- Le début du livre est ponctué de détails amusants, de trouvailles désopilantes, mais peu à peu, l'auteur utilise de plus en plus de ficelles bien lourdes, et  des idées de plus en plus grotesques et ridicules ! Il y a des longueurs et on s'ennuie (la garde à vue s'éternise :sleep: ), le comble pour un bouquin censé être amusant...

Staalesen, Le loup dans la bergerie
- les commentaires détaillés p. 281 et suivantes
- note moyenne : 12/20 (3 lectrices)
- Pour les plus indulgentes, voici un honnête polar avec quelques trouvailles intéressantes (un meurtre commis devant le détective privé qui pourtant n'a rien vu...), pour les autres, il y a beaucoup mieux dans le genre...

Starenbath (de) Bruno, Cavalcade
- note moyenne : 15/20 (6 lectrices)
- Si l'on excepte une lectrice (enceinte jusqu'aux dents et plus si affinités :whistle: , qui souhaitait plus d'action), ce livre est la bonne surprise des vacances. Direct, drôle, optimiste, l'auteur livre un témoignage sur l'accident qui l'a rendu tétraplégique avec une énergie communicative. C'est un livre fort, amusant parfois, bouleversant toujours ! A lire !
Petit bémol : une retardataire a peu goûté l'esprit trop "jet-set" du livre et en ressort même avec une peur panique des accidents de voiture !

Strasser Todd, La vague
- note moyenne : 10,5 / 20 (5 lectrices)
- commentaires détaillés p. 273 et suivantes
- Les avis sont très partagés sur cet ouvrage. Si le thème a le plus souvent plu (la mise en place par un professeur d'un régime totalitaire au sein d'un lycée afin de mettre en alerte les élèves sur l'endoctrinement et l'embrigadement), quelques lectrices ont été totalement rebutées par l'absence de style et le mauvais traitement du sujet.

Styron William, Le choix de Sophie
- moyenne 12/20 (mais une seule lectrice, flo, on t'a reconnue :whistle: )
- commentaires détaillés p 258 et suivantes
- De longs passages descriptifs diluent la dureté du propos. On s'égare, c'est dommage.

Süskind Patrick, Le parfum
- note moyenne : 14/20 (6 lectrices)
- le livre ne laisse pas indifférent, les avis sont très partagés, original et stupéfiant pour certaines, surréaliste et peu crédible pour d'autres. On adhère ou non au personnage de tueur doté un sens olfactif hors du commun.

Tejpal Tarun, Loin de Chandigarh
- note moyenne : 8/20 de moyenne (3 lectrices)
- Le livre est ennuyeux, il est jalonné de scènes de sexe, mais ces dernières sont artificielles et ne servent pas l'intrigue. Si toutes les lectrices s'accordent sur le manque d'intérêt de la seconde partie, la 1ère a en revanche trouvé une adepte (mais rien qu'une :sarcastic: ) grâce à sa description intéressante de l'expérience d'écrivain raté du narrateur ainsi que sa fascination pour le corps de sa femme.

Thilliez Franck, la chambre des morts
- note moyenne : 13/20 de moyenne (4 lectrices)
- C'est un polar globalement de bonne facture. Si l'on excepte une lectrice, les autres ont trouvé les deux premières parties intéressantes, mais que la troisième partie s'enlisait un peu : on connaît le tueur, et on tombe un peu dans la surenchère "glauque"...

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